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Synopsis- Il était une fois en Amérique. À New York, un homme se souvient de sa jeunesse, des règlements de comptes avec une bande rivale, de la prohibition et d'avoir dénoncé ses amis à la veille d'un braquage de banque.
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Cemontant n’était pas le budget initial qui a été très largement dépassé par Sergio Leone. Si le film est un chef-d’œuvre, il a été un échec commercial avec seulement 2,5 millions de dollars de recette. Il était une fois en Amérique fut le dernier rôle de James Hayden, Patsy dans le film. Pourquoi il était une fois dans l
FrédéricBonnaud à propos de Il était une fois en Amérique " immense chef-d'œuvre, son très très grand film qui est un film culte pour des millions de gens " : 'Il était une fois en Amérique' c'est un film plus grand que le cinéma, c'est à dire qui excède les capacités du cinéma.
Unfilm à multiples tiroirs sur les thèmes développés (le gangstérisme, l’amitié, la trahison, la rédemption, l’amour, et la sexualité) mais aussi des tiroirs dans le temps (l’adolescence, la jeunesse, et la vieillesse). Sans parler d’une fin a double énigme inoubliable. Un film nostalgique sur l’Amérique et ses rêves
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Il était une fois en Amérique Once upon a Time in America est le dernier film, américain, réalisé par Sergio Leone, sorti en 1984. Il est adapté du roman The Hoods de Harry Grey. Le décès prématuré de Sergio Leone en 1989 fait de Il était une fois en Amérique » son dernier film. Il boucle la trilogie que le réalisateur a consacré à l’Amérique dont il saisit, cette fois, l’évolution qui court, dans le film, du début du XX° siècle aux années soixante Synopsis[] Un homme, qui aurait trahi ses compagnons, est recherché par deux tueurs qui torturent et éliminent ses proches pour le retrouver. Des événements lointains et un enchaînement complexe de situations expliquent cette véritable chasse à l’homme… Analyse[] Le décès prématuré de Leone en 1989 fait de Il était une fois en Amérique » son dernier film. Il boucle la trilogie que le réalisateur a consacrée à l’Amérique dont il saisit, cette fois, l’évolution qui court, dans le film, du début du XX° siècle aux années soixante. Cette vaste période lui est l’occasion d’observer l’évolution de la société américaine à travers l’histoire d’un groupe de gamins issus du quartier défavorisé du Lower East Side de New-York. Ce parallèle entre le destin des individus et celui de la société a pour point commun le thème de la violence au service d’une ambition forcenée de réussite. Leone choisit au cours de ce demi siècle trois périodes clés qui servent son propos les années 1920 qui correspondent à l’adolescence de ses personnages cinq garçons et deux filles du quartier juif de New York, âge critique auquel se dessinent déjà les destins ; les années 1930 où ils atteignent à l’âge adulte au moment de la Prohibition ; les années soixante qui marquent le début de la vieillesse. Mais cette composition complexe en trois époques, développées pour l’essentiel linéairement, se précise et se complète également à travers de subtils retours en arrière et des va-et-vient de l’une à l’autre qui correspondent aux mouvements mêmes de la mémoire et qui sont, par ailleurs, toujours justifiés par le récit ou les émotions des personnages. D'autre part, suivre l’évolution de ces enfants revient à comprendre celle des Etats-Unis. En effet, deux des enfants se caractérisent par leur caractère entier et leur volonté d’être les premiers plus tard Deborah désire s’évader de son milieu social et devenir une vedette ; Max, être impulsif, refuse d’avoir un patron ils sont donc les moteurs du récit. Noodles, à l’inverse, pensif, méditatif, sans ambition réelle - sinon de se faire aimer de Deborah - et peu en accord avec les méthodes de Max, s’oppose souvent à lui, surtout après son long séjour en prison. Il suffit de rappeler la séquence au cours de laquelle Noodles précipite à la mer la voiture, les costumes, les armes, bref les gangsters qu’ils sont devenus, en une sorte d’immersion purificatrice. Un désir de purification par le retour aux valeurs fondatrices de l’enfance commune qui s’exprime aussi à travers les rituelles invitations à prendre un bain que les deux amis se lancent chaque fois que leur amitié est menacée. Leurs destins seront donc très différents. Max qui incarne le monde de la pègre et Deborah qui représente le monde du spectacle Broadway puis Hollywood réussissent à intégrer le monde politique et syndical par la violence pour l’un et la compromission pour l’autre. Peu avant la fin du film, ils ont satisfait leurs ambitions, sont des personnages respectées et font partie de l’établissement. Parallèlement, la société américaine nous est montrée progressivement et inéluctablement minée de l'intérieur par le gangstérisme. Le film montre la montée en puissance du crime de simples magouilles avec le flic de quartier vers 1920 ; puis l'organisation maffieuse avec le dirigeant syndical dans les années trente dès l’époque de la Prohibition par l’allusion à l’ascension du syndicaliste Jimmy Hoffa permise par la pègre; enfin, la corruption généralisée au pouvoir politique associé au monde artistique dans les années soixante. Au contraire, Noodles fait partie des laissés pour compte du destin car, méditatif et peu porté vers l’action, il a vécu de sentiments et non d’ambitions. Mais cette réussite a un envers elle ne s’accomplit que sur les décombres des amitiés brisées et de l’innocence saccagée. Le film prend alors sa dimension essentielle d’œuvre qui porte un regard désenchanté et amer sur la vie. Ce regard éperdu, absent, nostalgique, est celui de Noodles vieilli et, à travers lui, de Leone Un film pareil, on ne peut le réussir qu’avec la maturité, des cheveux blancs et pas mal de rides autour des yeux. Jamais je n’aurai pu faire ce film si je l’avais réalisé à 40 ans. », a-t-il confié qui nous donne à voir des vies devenues en une soixantaine d’années des destins. Ce qui lui permet de pointer du doigt la condition de la femme perçue soit comme une vierge inaccessible soit comme une putain, l’inégalité injustifiée des vies Dominic assassiné au seuil de la vie, Moe et Noodles sacrifiées », le déterminisme des milieux sociaux auxquels on ne peut échapper qu’au prix du reniement de ses origines, le triomphe des plus cyniques quand les naïfs et les purs échouent. Certes, il y a bien un prix à payer et le châtiment n’est jamais très loin. A titre d’exemple, on mentionnera la séquence nocturne – vision cauchemardesque quasi fantastique, métaphore cruelle et terrible - qui conclut la dernière rencontre entre Noodles et Max. Les derniers plans du film dans la fumerie d’opium qui reprennent à peu près à l’identique ceux du début – effaçant ainsi les trente années qui les séparent – montre une scène du théâtre d’ombres chinois, visuellement symbolique de l’illusion de toute vie dont on ne perçoit que les apparences et dont la réalité profonde nous échappe. Le film s’achève sur le sourire de Noodles, reflet de l’échec de la vanité des idéaux, de la trahison de l’enfance, de la perversion de l’innocence. Un sourire qui semble nous inviter à fuir la réalité au profit des paradis artificiels – comme si la réalité de la vie valait moins qu’un songe… Mais une autre signification peut être donné à ce plan du théâtre d’ombres qui ouvre et ferme le film, à cette nostalgie du regard porté sur les désillusions de la vie et à ce sourire ne sont-ils pas, de la part de Leone, les signes d’un émouvant hommage au cinéma ? En effet, ce sourire qui éclaire le visage jusque-là triste de Noodles n’est-il pas, précisément, celui du spectateur de cinéma qui entre dans la même salle obscure et qui savoure confortablement installé, lui aussi, l’opium d’images cinématographiques qui s’accordent à ses désirs… le temps d’un film. La réalisation de Leone alterne avec le même brio les scènes chocs, les scènes d’émotion et les scènes cocasses grâce à un rythme contrasté au service d’une mise en scène qui privilégie une lenteur synonyme de contemplation et de réflexion, de gravité et de nostalgie mais aussi les brefs éclats de violence animale vengeance, sadisme et de déraison viol dans la voiture. L’image ne peut s’apprécier indépendamment d’une partition musicale dont l’omniprésence, voire la récurrence, exprime tour à tour une poignante nostalgie leitmotiv de Childhood Memories » joué à la flûte et le lyrisme des tragédies intimes notes de piano qui s’égrènent lentement, brusque envol nostalgique des violons relayés par les violoncelles cependant que les banjos ajoutent les notes aigres de l’amertume, douceur caressante des violons de nouveau, ou crescendo d’une voix éthérée. On citera pour mémoire, comme modèle de réalisation, l’un des plus beaux moments du film quand Noodles Robert De Niro, vieilli, se retrouve face à l’ouverture par laquelle, enfant, il dévorait des yeux Deborah Jennifer Connelly/ Elisabeth McGovern. Le regard caméra s’avance, dans une lumière qui s’intensifie et efface peu à peu le détail des lieux, à travers l’ouverture et nous conduit, par une surbrillance, dans une nouvelle époque, celle de son passé, qui impressionne peu à peu la pellicule d’où surgissent ses souvenirs. Ce passage du présent mortifère au passé heureux, éminemment symbolique du sens du film, s’effectue ainsi en douceur grâce à un art impressionniste tout en délicatesse qui nous propose une transition d’une rare mélancolie. Superbe moment de cinéma !… Et heureuse célébration du cinéma car cette ouverture » représente à la fois le cadre du réalisateur et l’écran du spectateur sur lesquels se joue la magie poétique d’un cinéma qui fait passer, selon les désirs, du présent au passé, du rêve à la réalité. Ce film représente, à tous points de vue, la quintessence de l’œuvre inoubliable ; ce qui se confirme à chaque nouvelle vision depuis les vingt ans qui se sont écoulés depuis sa réalisation 1983. Fiche technique[] Titre original ONCE UPON A TIME IN AMERICA Réalisation Sergio LEONE Scénario Leonardo BENVENUTI, P De BERNARDI, E MEDIOLI, F ARCALLI, F FERRINI, Sergio LEONE Directeur de la photographie Tonino DELLI COLLI Eastmancolor Musique Ennio MORRICONE Production Armon MILCHAN Distribution SNC Durée 220 minutes Date de sortie 1984 Distribution[] Noodles Robert DE NIRO Max James WOODS Deborah Jennifer Connelly enfant puis Elizabeth McGOVERN adulte. Jimmy O'Donnell Treat WILLIAMS Carol Tuesday WELD Joe Burt YOUNG Frankie Joe PESCI Fat Moe Larry RAPP Le chef de Police Aiello Danny AIELLO Source[]
À l'occasion de la diffusion du film culte Il était une fois en Amérique dimanche 6 mars 2022, à partir de 20h55 sur Arte, Télé Star vous dévoile quelle polémique ce long-métrage a suscité lors de sa sortie en au cinéma en 1984, le film culte Il était une fois en Amérique, porté par Robert De Niro, James Woods et Elizabeth McGovern, sera rediffusé dimanche 6 mars 2022, à partir de 20h55 sur la chaîne franco-allemande Arte. Réalisé par Sergio Leone, ce long-métrage est en fait le 3ème volet d'une saga portant sur plusieurs périodes clés de l'histoire américaine. Le premier opus, Il était une fois dans l'Ouest, se situait à l'époque de la conquête de l'Ouest. L'action du 2ème épisode, Il était une fois la révolution, se déroulait en pleine révolution mexicaine, tandis que Il était une fois en Amérique clôture cette trilogie, en revenant sur la Prohibition et l'avènement du de sa sortie en salles, Il était une fois en Amérique a dû faire face à de nombreuses protestations. Il était notamment reproché au film de Sergio Leone sa manière de dépeindre la communauté juive de New York, qui n'échappa donc pas aux critiques du peuple israélite. Le gouvernement d'Israël ira même jusqu'à parler d'une "terrible humiliation" à l'époque. Le long-métrage se heurta également aux protestations de nombreux mouvements féministes, qui voyaient d'un mauvais oeil les violences commises sur les femmes. Au final, Il était une fois en Amérique fut un immense désastre était une fois en Amérique le dernier film de Sergio LeoneAyant nécéssité un investissement global compris entre 30 et 40 millions de dollars, ce qui représentait une immense fortune à l'époque, l'exploitation du film en salles se solda par un gros échec commercial aux États-Unis. Il était une fois en Amérique enregistra seulement 2,5 millions de dollars de recettes sur le sol américain. Pour l'anecdote, le budget de production du film explosa, dépassant les prévisions de trois millions de dollars. En tout, le tournage de ce long-métrage a duré plus d'un an, avec de nombreuses prises de vue en extérieur à New York, Toronto, Rome et Venise. Ce film marqua par ailleurs la toute dernière réalisation du cinéaste Sergio Leone, qui est mort 5 ans après sa sortie au cinéma. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © WARNER BROS 2/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 3/12 - SCOTT TILER, BRIAN BLOOM, ADRIAN CURRAN ET RUSTY JACOBS ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE SCOTT TILER BRIAN BLOOM ADRIAN CURRANRUSTY JACOBS © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 4/12 - SCOTT TILER, BRIAN BLOOM, ADRIAN CURRAN ET RUSTY JACOBS ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE ADRIAN CURRAN BRIAN BLOOM RUSTY JACOBSSCOTT TILER © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 5/12 - SCOTT TILER ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESCOTT TILER © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 6/12 - TUESDAY WELD ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONETUESDAY WELD © WARNER BROS 7/12 - ROBERT DE NIRO ET ELIZABEYH MAC GOVERN ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE ROBERT DE NIROELIZABEYH MAC GOVERN © WARNER BROS 8/12 - JAMES WOOD ET ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE JAMES WOODROBERT DE NIRO © WARNER BROS 9/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 10/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 11/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 12/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE
Diffusé dimanche 6 mars 2022 à partir de 20h55 sur Arte, le film culte Il était une fois en Amérique est le dernier de la carrière de Sergio Leone. Télé Star vous dévoile aujourd'hui pourquoi le cinéaste n'a plus jamais tourné d'autres au cinéma en 1984, le film culte Il était une fois en Amérique, réalisé par Sergio Leone, sera rediffusé dimanche 6 mars 2022, à partir de 21h05 sur la chaîne franco-allemande Arte. Porté par Robert De Niro, James Woods et Elizabeth McGovern, ce long-métrage raconte, de la prohibition aux années 60, 45 ans des vicissitudes dramatiques du mafieux David Aaronson dit "Noodles", incarné à l'écran par Robert de Niro. Avec ses amis, il est passé du miséreux ghetto juif de son enfance aux plus hautes sphères du crime organisé de New long-métrage est devenu culte au fil du temps, il fut cependant un véritable gouffre financier à l'époque. C'est bien simple, Il était une fois en Amérique n'a amassé que 2,5 millions de dollars de recettes sur le sol américain, ce qui est extrêmement faible comparé à son investissement total, qui se situe entre 30 et 40 millions de dollars. En fait, le tournage de ce film a duré plus d'un an, ce qui a eu pour effet de faire exploser le budget de production, qui était estimé à seulement 3 millions de dollars. Pour expliquer l'échec de ce long-métrage outre-Altantique, il faut savoir que Sergio Leone avait passé un contrat avec les studios Warner, s'engageant ainsi à livrer un film de était une fois en Amérique Sergio Leone déprimé par les coupures de la Warner sur son filmCependant, après avoir constaté que le résultat final durait 4h25, le studio demanda au producteur Arnon Milchan de procéder à de nombreuses coupes pour respecter ce qui avait été décidé au départ. Les Américains euront donc droit à une version tronquée de seulement 2h19, beaucoup moins intéressante que la version intégrale dont ont bénéficié les Européens. Non seulement le long-métrage est quasiment réduit de moitié, mais tout est replacé dans un ordre chronologique dénaturant le film. Il fut ainsi évincé de la cérémonie des Oscars, étant donné que la décision de la Warner fit scandale à l'époque. Par ailleurs, ce choix a tellement déprimé Sergio Leone qu'il n'a plus tourné de film jusqu'à sa mort en 1989. Cependant, le cinéaste italien travaillait sur un projet de long-métrage portant sur le siège de Leningrad l'année de sa disparition. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © WARNER BROS 2/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 3/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 4/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 5/12 - WILLIAM FORSYTHE, JAMES HAYDEN, JAMES WOODS ET ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE WILLIAM FORSYTHE JAMES HAYDEN JAMES WOODSROBERT DE NIRO © WARNER BROS 6/12 - SERGIO LEONE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESERGIO LEONE © WARNER BROS 7/12 - SERGIO LEONE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESERGIO LEONE © WARNER BROS 8/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 9/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 10/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 11/12 - SERGIO LEONE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESERGIO LEONE © WARNER BROS 12/12 - JAMES WOODS ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEJAMES WOODS
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